Une réaction, une info... Prenez la voie rapide |
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Le BEP prend en charge une étude de mobilité dans le triangle « Meuse – E411/N4 – N97 ». Objectif : résoudre la problématique du charroi lourd dans les communes de Assesse, Dinant, Profondeville et Yvoir.
Augmentation du trafic
Le triangle formé par la Meuse, la E411/N4 et la N97 génère beaucoup de trafic lourd au vu de l’activité économique des lieux (carrières, CHU de Mont-Godinne, entreprises dans les parcs d’activités économiques). En outre, il s’agit d’un espace de la Province de Namur qui connait depuis quelques années une croissance significative de l’habitat.
A cause du relief, des caractéristiques intrinsèques des voiries et de l’accroissement du trafic, les liaisons routières est-ouest posent des problèmes :
- de sécurité ;
- de fluidité du trafic ;
- de dégradation de l’infrastructure ;
- de qualité du cadre de vie dans les villages traversés.
Examiner la problématique du charroi lourd
Les communes d’Assesse, Dinant, Profondeville et Yvoir. sont concernées par cette problématique. A leur demande et en collaboration avec la DGO1 et la DGO2, le Département Développement Territorial du BEP a proposé d’examiner la problématique de la mobilité du charroi lourd dans cet espace Meuse-E411-N97.
Après la récolte d’informations pour établir un prédiagnostic, le BEP, soumis aux règles des marchés publics, a élaboré un cahier des charges permettant la désignation d’un bureau d’étude spécialisé en mobilité.
Des propositions au printemps 2018
Le bureau Transitec est chargé de réaliser cette étude cofinancée par le cabinet du Ministre de la Mobilité, Carlo Di Antonio, les communes et le BEP.
Les résultats de cette étude, qui déboucheront sur des propositions d’actions pour favoriser la sécurité des traversées de village, seront présentées au printemps 2018.
(Extrait d'une page web du Bureau Economique de la Province)
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Dans la journée on apprenait du Ministre di Antonio que le contournement de Namur était toujours à l'étude et qu'il n'y avait pas de tracé privilégié actuellement.
Dans le même temps, les habitants d'Assesse recevaient dans leur boite une invitation de l'opposition (MR) à un conseil communal qui aura pour seul objet une information sur la nouvelle voie rapide.
Comme le permet le code de démocratie locale 1/3 des conseillers peuvent demander la tenue d'un Conseil Communal. C'est ce qu'a fait le groupe ALN (MR).
On pourra y découvrir:
Les 6 tracés envisagés
- Les aménagements, répartis en 5 tronçons (dont 4 sur Assesse)
- Les coupes en travers et leur localisation (assiettes de voirie, trottoirs, etc)
- Les impacts environnementaux
La majorité a décliné l'offre et ne sera pas présente. Le quorum ne sera donc pas atteint.
Ambiance.
- Invitation du groupe ALN au Conseil communal du 28 février (Lettre-circulaire groupe ALN)
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Le Ministre reste très vague dans sa réponse précisant qu'une dizaine de projets sont étudiés (sans dire lesquels). Il ne répond pas à la question du tracé.
Laissant suggérer qu'aucune option n'est privilégiée actuellement.
Bref, rien de bien différents du discours habituel. On reste dans le brouillard.
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Lors du Conseil communal d'Assesse de fin janvier, l'opposition (ALN) demande une information concernant la création d'une nouvelle route à travers le territoire de la commune. Elle demande que si un tel projet existe une motion d'opposition soit vôtée.
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Nos autorités semblent à nouveau frappées par une sévère récidive virale du syndrome de "l'asphaltite aigue en milieu rural", également nommée le syndrome obsessionnel de la "voie rapide Maillen - clinique de Mont- Godinne".
Cette dangereuse maladie d'un autre âge apparait tous les 20 ans, avec un pic en périodes pré-électorales et de fin de mandat.
L'épidémie touche davantage le monde politique, et tout particulièrement les décideurs wallons du CDH.